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Andri Bänziger, Lukas Bärfuss, Martina Clavadet…
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14-09-2024
Little Bookworms: Stories, songs and rhymes for ch…
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Journal

Mitteilung 2020-03-18 [A*dS Actualité]: Concernant: Le virus Corona

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Mitteilung 2024-07-12 [«Topshelf Night» Schloss Lenzburg]: Eine Sommernacht zwischen Lichtern und Stars, die ganz der Literatur und dem Lesen gehört! Und Bookstagram! Und BookTok!

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Mitteilung 2024-06-26 [Bachmann-Preis]: Statt Fussball 3 Tage lang Literatur gucken: Heute starten die diesjährigen «Tage der deutschsprachigen Literatur».

Journal

Mitteilung 2024-06-24 [Pro Litteris Preis 24 – Sasha Filipenko & Maud Mabillard]: ProLitteris verleiht zwei Preise in der Sparte Literatur an Sasha Filipenko und Maud Mabillard.

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Mitteilung 2024-06-21 [Literaturfestival Zürich]: Nicht verpassen: Vom 8.-14.7.24 steigt wieder das Literaturfestival Zürich.

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Mitteilung 2024-06-17 [Stiftung Lydia Eymann Literaturstipendium]: Bis 30.6.24 bewerben fürs Stipendium der Lydia Eymann Stiftung.

Journal

Mitteilung 2024-06-11 [Markus Bundi «Wilde Tiere»]: Beat Mazenauer bespricht «Wilde Tiere» von Markus Bundi für Viceversaliteratur.ch.

Conseil de lecture

Elisabeth Horem, Mauvaises rencontres: «Mauvaises rencontres» est empreint d’une fascinante atmosphère d’étrangeté. Dans ces treize nouvelles, Elisabeth Horem explore les carrefours où la vie soudain bascule. Les dérapages sont ici multiples – et parfois bien réels, comme dans la nouvelle qui donne le titre au recueil. Ailleurs, il s’agit davantage de sentiments troubles, d’ambiances absurdes et de situations kafkaïennes, de virages existentiels où les protagonistes se mettent en jeu. L’auteure esquisse en peu de mots les mouvements obscurs de l’âme, le désir et la culpabilité qui la tiraillent, les rendez-vous manqués et les différents visages de la solitude. De façon très fine, elle laisse ses courtes proses ouvertes, et le lecteur songeur. Française d’origine, Elisabeth Horem a étudié à Paris avant d’épouser un diplomate suisse, et a vécu dans plusieurs pays du Moyen-Orient. Après quatre romans, elle signait en 2005 le très remarqué «Shrapnels, en marge de Bagdad», où elle racontait sa vie quotidienne au cœur de la capitale irakienne en proie à la violence. Anne Pitteloud, , 2007

Conseil de lecture

Simona Ryser, Maries Gespenster: Avec « Maries Gespenster » (« Les fantômes de Marie »), l'auteure zurichoise Simona Ryser a signé un premier roman remarquable. Marie sillonne le labyrinthe de la grande ville et ne trouve jamais le repos. Dans le bus ou dans la rue, elle rencontre toujours sa mère, morte et enterrée depuis longtemps. Marie cherche à éclaircir les souvenirs qui lui restent d'elle. Par des habitudes rituelles, elle se protège de la folie. Chaque jour, de nouvelles ruses l'aident à maintenir un ordre apparent et à ne pas perdre le contrôle de sa vie compliquée. Simona Ryser raconte Marie et sa tentative de dompter le quotidien avec une langue au rythme rigoureux, qui tient du « Woyzeck » de Büchner par son indocilité crue. Avec discrétion et intelligence, l'auteure laisse des motifs et des phrases se glisser dans son texte, accompagné par l'écho du « Lasciatemi morire » du lamento d'Ariane de Monteverdi. Simona Ryser compose ainsi un staccato narratif compact, à l'intérieur duquel l'héroïne hante les déserts urbains et les paradis de la consommation à la recherche de son ami Wolf et d'elle-même. Au final, elle redistribue les cartes et change la donne. (Beat Mazenauer)

Conseil de lecture

Sabina Naef, leichter Schwindel: Le troisième recueil de Sabina Naef rassemble 57 courts poèmes, de quelques vers chacun. Le titre est programme : les irritations arrivent discrètes et soudaines, à commencer par ce titre qui commence par une minuscule. L’imperceptible insécurité saisit aussi le moi poétique : lors d’une rencontre espérée, dans ses observations perdue dans ses pensées, au fil de l’écriture. Parfois la poétesse en oublie le sujet grammatical et laisse le verbe et l’objet incertains. Cette projection dans l’ouvert marque comme un refrain ses thèmes : l’écriture et l’amour. Ni l’une ni l’autre ne sont sûrs de leur affare, mais tous deux sont l’occasion d’espoirs et de rêves ailés. Rien ne peut arriver précisément parce que tout peut arriver. C’est dans ces moments de concentration guère réductible davantage que Sabina Naef trouve son propre ton. Elle formule son programme en deux vers : « elle tape sur une machine à écrire / où elle n’a pas mis de papier ». C’est cela qui produit le léger vertige : cette façon de se tenir sans objet et sans but à des mots à peine visibles sur le cylindre et qui pourtant laissent deviner quelque chose comme le concentré d’un texte. (Beat Mazenauer, trad. par Christian Viredaz)

Nouvelles parutions

Daniel Bloch: Creating Identity – von der Bewegungsfreiheit mit dem Vorderrad. Knapp.

Nouvelles parutions

Matthias F Steinmann: Der Heiratsschwindler - Wie ein Auferstandener mich in einen Todesstrudel hineinzog. Helvetia Verlag, Bern.

Actualités

AdS Annonces RSS: Communiqué de presse de la Taskforce Culture : Message culture : l’incompréhension face à la décision du Conseil national

AdS Annonces RSS: Neues Literaturhaus Graubünden

AdS Annonces RSS: A*dS: Sommerpause / vacances d'été / pausa estiva / summer break

AdS Annonces RSS: Communiqué de presse de Suisseculture

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